Commandés par Napoléon III, les travaux grandioses d’Haussmann transforment la capitale. Taillées dans le Paris médiéval, de vastes artères sont crées, notamment
‘Les Grands Boulevards’ peuplés de théâtres et de cafés... |  | « Les pauvres parisiens qui selon la caricature quittent leur domicile le matin sans être sûrs de le retrouver le soir à cause de la rapidité des travaux ; ils sont les acteurs, les témoins et les victimes de ces métamorphoses en attendant d’en être les bénéficiaires » Journal ‘l’Union’ |  |
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« Aujourd’hui que de grandes percées, trop droites pour l’œil artiste mais éminemment sûres, nous permettent d’aller longtemps, les mains dans nos poches, sans nous égarer et sans être forcés de consulter à chaque instant le commissionnaire du coin ou l’affable épicier de la rue, c’est une bénédiction que de cheminer le long d’un large trottoir, sans rien écouter et sans rien regarder, état fort agréable de la rêverie qui n’empêche pas de voir et d’entendre. » George Sand |  |
« Les grands boulevards ! Mots magiques, qui flamboie, qui illumine le monde, qui illumine le Monde, qui attire les admirateurs et les amis de tous les points de l’univers, et qui fait une des plus pures gloires de Paris : car Paris, seul a des grands boulevards » Léo Clarétie
« Les grands boulevards ! Toute la vie était là ! S’émerveille André Warnod
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